solitaire

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posté le 03-10-2009 à 08:20:30

Trésor de Yughurta

Les autres cavernes,plus inaccessibles encore,sont moins vastes;aucune n'a de sol friable et n'a pu etre propice à l'ensevelissement de quelque objet que ce soit.Nous sommes partout en face d'affleurement homogènes de roches primitives.

Mais ces hauts-fonds inaccessibles aux vagues;ces voutes imposantes en abri naturel;ces bancs granitiques en matières de quais intérieurs;cette impossibilité d'accés par la terre que tout cela est explicite et magnifiquement éloquent ! Combien  la rumeur populaire se solidifie ici,au foyer meme qui  lui donna naissance ! Ces grottes de Jughurta ne purent etre que d'incomparables entrepots !

Les richesses s'entassaient là,à la garde de quelques fidèles,dont nul habitant du pays ne connaissait l'existence ou tout au moins la situation réelle.Et l'or,l'ivoire,l'ambre,la soie,les tissus précieux,les métaux ouvrés,les essences,les perles,les pièrreries,les cuirs brodés,les parchemins,les céramiques,toutes les subtilités des arts humains et les productions de la terre,se sont amoncelées là pendant les siècles famboyants de l'hégémonie maritime et cotière des Pheniciens..........

 

 


 
 
posté le 03-10-2009 à 08:17:57

Trésor de Yughurta 3

Nous allons savoir si le sein de la terre peut receler quelques monceaux de ses trésors, quelques parcelles de son infernal levier !En brasses de plus en plus lentes, couchée sur les flots tellement innombrables qu'on se croirait à tout jamais perdue en eux, c'est à peine si l'on ose regarder ces voutes de granit et l'ombre, au rythme épuisé qui nous traine jusqu'à elles. Les vagues se calment peu à peu ;la houle baisse hors du vent arrêté par un pan de roches qui ferme sur deux cotés, l'approche des grottes, comme en un golfe de mystère et de mort.et plus loin, sur ces cotes, des pentes  abruptes, sans végétation, et dont la rocaille s'effrite au moindre souffle, descendant des collines jusqu'à la mer profonde.Point de plage ; point de grève. Des bans de granit entourent les cavernes à l'intérieur, et l'eau y pénètre plus loin que l'œil ne peut voir du dehors.Nous sommes entrée lentement dans ces antres, avec les ondes glauques…..D'énormes blocs, polis par la longue caresse des remous, s'entassent ,chaotiquement. Les banquettes de granit, très larges et hautes, longent les deux bords, et l'on avance dans cette sorte de  canal, sans pouvoir aborder.Enfin un bloc énorme émerge à moitié,puis deux,régulièrement superposés,comme des merchesvoulues par l'homme,et c'est un fond immense de carverne,entiérement rocheux,qui s'étale sous les voutes en une saisissante majesté.Le lumière pénètre à peine jusqu'à ce point;elle meurt avec les dernières lames du canal,tandis que,regardant vers l'extérieur,on aperçoit la mer illimitée --- d'un bleu de saphir,qui n'existe qu'au contact des roches étranges de la cote algérienne,dans l'épanouissement total des radiations du prisme;et ces rives,aux stratifications incalculables,sont infiniment pitoresques. 
 


 
 
posté le 03-10-2009 à 08:16:47

Trésor de Yughurta 2

Mais lorsqu'on veut savoir !...On amarra le canot – puis l'on bondit sur les rochers, en ouest !Au fond d'une immense crique, offrant des ouvertures comme des voutes en ogive de quelque splendide  cathédrale, trois grottes successives apparurent. Longtemps  avant leur approche, tout moyen d'y accéder par la terre devint impraticable et l'on se jeta à la nage!Une foule de pensées révélatrices nous assaillit à mesure que, d'une extrême lenteur,  infiniment petite dans ce golfe sauvage, nous allions au-devant des cavernes au nom retentissant: Jughurta ! jughurta! jughurta!..Il nous semblait voir sous la sombre voute s'estomper la silhouette de ce terrible Roi, dont la cruauté -- penchant peu rare à ces époques lointaines ---était surpassée par in indomptable courage, un esprit vif, souple et pénétrant, et, surtout peut-être par une beauté d'archange qui le fit adorer de toute la Numidie!...Il fut également le grand maitre de l'or.Il mania tragiquement,de près ou à distance,tel un fluide magique,infaillible,l'argument corrupteur de son or!Et l'on sait que Jughurta ne fut réduit qu'aprés de prodigues inouis,des coalitions indescriptibles avec une arme employée si souvent par lui --La trahison....L'or et la beauté du prince numide hantent encore les inaccéssibles cavernes auxquelle est attaché son nom!... 
 


 
 
posté le 02-10-2009 à 20:48:17

Historique Herbillon

Historique Herbillon - VilleDe 1830-1962 ENCYCLOPEDIE de L'AFN.Aller à : Navigation, rechercher    
Sommaire[masquer]
Histoire ancienne TACUATA en présence des vestiges que l’on a pu en retrouver, fut une ville relativement importante. C’était, à l’époque romaine, le point de départ d’une route verts l’Ouest.On extrait du porphyre rouge et l' exporte vers Rome par le port de la Seybouse. Les Arabes avaient fait de Tacuata : Takkouche dérivant du berbère Teccuche . Présence française En 1869 création du Centre de colonisation: des Bretons ont crée Herbillon entre Philippeville et Bône. Toutes les infrastructures sont mises en place : Mairie, école et à l'orée du village, paisible, et combien secourable, une exquise petite église.Ce nid de verdure restreint et l'allure accidentelle, est circonscrit, au Nord-Est, par des rochers de granit, transformés aujourd'hui en carrières à pavés, allant fermer le golfe par un cap aride et magnifique. Commerçants et propriétaires français ; ouvriers et pêcheurs italiens, pour la plupart francisés ; minorité arabe tranquille et courtoise, se partagent la jouissance de cet Eden. La nature, à Herbillon, a multiplié ses dons et ses effets ; on les découvre lentement, puis on est subjugué par tant de séductions cachées, de charme presque indicible,dont les racines plongent autant dans la vie géologique de la Terre, que dans les effluves d'âmes matérialisées de ceux qui la pétrirent. L'amphore brisée sur le bord du chemin qui mène à la Fontaine Romaine mêle son grès grisâtre aux grisailles du temps : mais un je ne sais quoi plane encore autour d'elle de celle qui la porta sur son épaule et de celui qui s'y désaltéra... A chaque pas, sur les côtes rongées par les flots, l'on heurte quelque pierre taillée ; on reconnaît l'emplacement d'une ferme isolée ou celui de plusieurs demeures. On creuse légèrement un talus, et des débris d'objets mobiliers se répandent : perles de verre, poterie fine ou grossière, gobelet entier, tesson de vase signé d'un nom que le Corpus ne nous indique pas. Sous deux vastes « tegulœ » accrochées en aétos, un squelette intact est étendu, alors qu'à la couche inférieure, il sera replié sur lui même : les siècles s'amoncellent, la succession des races, des civilisations s'accuse, une fois de plus ; nous sommes en présence, non pas d'un début de l'Histoire, où l'autochtone cherche sa voie au bas de la spirale de l'évolution, mais bien à divers tournants de cette spirale, dont les origines semblent presque aussi inaccessibles que son Devenir. Enfin, tout le long de la Côte Est, les vaisseaux phéniciens ont accroché des noms retentissants à des grottes, tout au fond des criques où s'engloutit la mer, après avoir englouti les trésors de Jugurtha. (« HERBILLON L'Ame Archaïque de l'Afrique du Nord » Editions NBL 1933).
A la fin du XIXe siècle, Takkouche prend le nom du Général français Herbillon (1794 - 1866).
A l’époque où le bateau le Caramy faisait le transport des voyageurs entrent Bône et Herbillon, les premiers médecins à y avoir exercé était les Dr Bendjelloul et Monpére.
Le petit village bâti en gradin, avec la corniche, le petit port, la jetée, les barques et les filets de pêche sur le sable, les forêts d'eucalyptus, de pinèdes et de chênes, les fleurs de champs parfumées, la « fontaine romaines » la blanche coupole de Sidi Felkoun qui veille sur le cimetière, les criques de galets, les fameuses soupes de poissons « Chez Lolo » (Charles ZURLI) ont fait la fierté du village, tels sont les ingrédients qui singularisent le charme de d'Herbillon. Carrière de granite Outre la pêche, le granite constitue une autre ressource naturelle très abondante dans la région. Ce minerai qui a fait la fortune d'Herbillon a longtemps été exploité. Certaines chaussées d'Herbillon ainsi que celles de Bône sont revêtues de pavés provenant de cette carrière (voir les pavés qui recouvrent encore de nos jours toute la chaussée de l'avant-port à Bône ou bien le vieux banc en granit qui se trouve sur le cours près de l'Hôtel de ville). D'autres chaussées de grandes villes de France et même de l'étranger ont été garnies de ce granit particulièrement résistant.  Recherches généalogiques Identifier les actes numérisés Aux archives d'Ourre-Mer C.A.O.M) : 1871 - 1904 Nom actuel Chetaibi Wilaya d' Annaba (Bône) Récupérée de « http://encyclopedie-afn.org/index.php/Historique_Herbillon_-_Ville » 
 


Commentaires

 

1. brave23  le 03-10-2009 à 07:15:18  (site)

Merci à mystérious pour sa générosité ,et qui m'a communiqué le lien pour faire de plus amples recherches sur mon village.

 
 
 
posté le 02-10-2009 à 10:48:43

trésor de yughurta suite 1

Mais lorsqu'on veut savoir !...On amarra le canot – puis l'on bondit sur les rochers, en ouest !Au fond d'une immense crique, offrant des ouvertures comme des voutes en ogive de quelque splendide  cathédrale, trois grottes successives apparurent. Longtemps  avant leur approche, tout moyen d'y accéder par la terre devint impraticable et l'on se jeta à la nage!Une foule de prensées révélatrices nous assaillit à mesure que,d'une extrème lenteur,infiniment petite dans ce golfe sauvage,nous allions au-devant des cavernes au nom retentissant: Jughurta ! jughurta! jughurta!..Il nous semblait voir sous la sombre voute s'estomper la silhouette de ce terrible Roi,dont la cruauté -- penchant peu rare à ces époques lointaines ---était surpassée par in indomptable courage,un esprit vif,souple et pénétrant,et,surtout peut-etre par une beauté d'archange qui le fit adorer de toute la numidie!...Il fut également le grand maitre de l'or.Il mania tragiquement,de près ou à distance,tel un fluide magique,infaillible,l'argument corrupteur de son or!Et l'on sait que Jughurta ne fut réduit qu'aprés de prodigues inouis,des coalitions indescriptibles avec une arme employée si souvent par lui --La trahison....L'or et la beauté du prince numide hantent encore les inaccéssibles cavernes auxquelle est attaché son nom!...
 


 
 
posté le 02-10-2009 à 10:46:54

Trésor de Yughurta

" Les peuples disparaissent, les civilisations s'éteignent : Les rumeurs du monde persistent – Ondes latentes, tenace…."Non loin du cap de Fer, en un point imprécisé sur la carte, une légende régionale parle avec emphase des grottes de Jugurtha, d'incalculables trésors  ensevelis en elles, du danger d'approcher, et de celui – plus grand encore – de tenter des recherches.De là à nous mettre en route, il n'y pouvait avoir que le temps de s'équiper ! Quelle poignante aventure, en effet, que de fouler un point spécial ou furent chez eux ces êtres dont l'activité prodigieuse et secrète effara l'univers.Point de sentiers pour conduire aux grottes de Jugurtha ; point de villages aux alentours. Un souffle de frayeur muette entoure ces coteaux et ces roches qui plongent dans la mer et n'ont que son étendue en face de leurs accès et de leur sombre histoire...Ce n'est que par temps calme qu'on peut y aborder en canot à cause des multiples récifs ;ce n'est  que par déduction approximative qu'on peut en évaluer l'état météorologique, du  petit pays d'Herbillon, le plus proche site habité.Les remous,la contrariété de courants locaux,les tourbillons de vent,sont autant d'agents perturbateurs que l'on découvre sur place....C'est ainsi que partis en barque,par temps calme,un vent inattendu malmena bientot le pauvre esquif,le jetant tantots sur les rocs,tantot vers les crevasses;l'impossibilité de louvoyer à travers les chenaux hérissés d'éceuils et celle plus grande encore,de passer au large des ilots,sembla nous interdire l'approche des célèbres grottes.
 


 
 
posté le 02-10-2009 à 08:36:29

Herbillon

Le sol tout entier de l'Afrique du Nord intensifie les données du problème --- La préhistoire y est encore plus riche : --- et combien plus poignante --- que son histoire ancienne elle-même. Les amas coquilliers en font la mine des époques moustériennes et aurignaciennes. La 4° glaciaire y garde les empreintes des travaux contemporains du Cro-Magnon. Le Magdalénien y est plus riche et splendide…Les dolmens, à l'idéale pureté de lignes et de conception, les indestructibles dolmens, preuves indestructibles de l'existence de Races innommées, réoccupés servilement par tous les descendants de ces Djoals à l'esprit droit et au cœur solide, couvrent par groupes de plusieurs milliers tous ces territoires d'atlas….Nous sommes dans un très vieux pays…D'innombrables générations ont vécu sur ce sol archaïque, y laissant à jamais les traces de leur passage, de leurs tendances, de leur art, de leur douleur….Mais en Herbillon , perle du littoral, golfe inimitable et délicat, ce n'est pas l'Homme qui fait un effort en arrière pour y cristalliser le Passé : aux accents berceurs de ces sources, fécondant les vallons depuis la nuit des siècles, c'est le Passé tout entier qui semble vivre encore de sa vie antérieure, et attendre, dans un perpétuel renouveau, que les hommes qui vivent aujourd'hui sentent palpiter devant eux, pour les comprendre et les aimer, les millénaires révolus…L'harmonie qui a mêlé la flore insulaire, les sources tièdes, les roches primitives et les vestiges des races mortes, fait pénétrer au cœur de ceux qui la discerne, avec l'élan passionné de notre existence fugitive, avide de savoir et d'étreindre ---- le secret eternel de la pérennité
 


 
 
posté le 01-10-2009 à 09:56:45

Herbillon

La nature, à Herbillon , a multiplié ses dons et ses effets ;on les découvre lentement, puis l'on est subjugué par tant de séductions cachées, de charme presque indicible, dont les racines plongent autant dans la vie géologique de la terre, que dans les effluves d'âmes matérialisées de ceux qui la pétrirent.L'amphore brisée sur le bord du chemin qui mène à la fontaine romaine mêle son grès grisâtre aux grisailles du champ ; mais un je ne sais quoi plane encore autour d'elle de celle qui la porta sur son épaule et de celui qui s'y désaltéra…A  chaque pas, sur les cotes rongées par les flots, l'on heurte quelque  pierre taillée ; on reconnait l'emplacement d'une ferme isolée ou celui de plusieurs demeures. On creuse légèrement un talus, et des débris d'objets  mobiliers se répandent : perles de verre, poterie fine ou grossière, gobelet entier, tesson de vase signé d'un nom que le corpus ne nous indique pas. Sous deux vastes « teguloe » accrochées en aétos, un squelette intact est étendu, alors qu'à la couche inférieure, il sera replié sur lui-même ;les siècles s'amoncellent, la succession des races, des civilisations s'accuse, une fois de plus ;nous somme en présence, non pas d'un défaut de l'histoire, ou l'autochtone cherche sa voie au bas de la spirale de l'évolution, mais bien à divers tournants  de cette spirale, dont les origines semblent presque aussi inaccessibles que son  devenir. Enfin, tout le long de la cote Est, les vaisseaux phéniciens ont accroché des noms retentissant à des grottes, tout au fond des criques ou s'englouti la mer, après avoir englouti les trésors de Jughurta.
 


Commentaires

 

1. ssspleen  le 01-10-2009 à 13:20:04  (site)

http://encyclopedie-afn.org/index.php/Historique_Herbillon_-_Ville
bonnes sources...........
je ne connais pas du tout Herbillon , mais je cherche lol

2. mysterious  le 02-10-2009 à 05:34:13  (site)

kikou je te souhaite une tres douce journée gros bisous

3. Les merveilleux lutins et la fee Plume  le 02-10-2009 à 06:28:28  (site)

Cliquez ici pour voir mon imageIl y a des gens qui vous inondent
de joie de vie et de sourires
je passe parcourir ton univers
passe une très belle journée , tendresse et bisoux tes amis Adamas* Adelino* Adnane*Adïel*Adriël* Agustin*Ahïam* Aitor* Akmal* Ambroise*Ambrose* Americo* Andromaque* Angel* Angelus* Angus* Anice* Anthonin* Archange* Cambyse* Camerino* Candide* Cantien* Carleson* Célien* Ceydric* Chabane*Charlain* Chicco* Chidi* Cristobal* Damabiah* Dayane* Domingos*Dristan* Drystan* Elijah* Enes* Fercos* Fergal*Fergie* Filippo* Gavino* Gerhard*Ghaïs* gonzague* Gonzalo* Grichka* Griskka* Guerric* Guildwen* GuillaumeZ* GuillaumeE* Gwendall*Heidi*Icare* Iban* Imad* Inca* Israel* Ivica* Jaad* Javier* Jamys* Javier* Jillian* Joanis* Juanito* Julian* Juliano* Kilane* Lasko*Lissandro* Loban*Logan* Lohann* Loïs* Lucano* Lucay* Lucco* Lucio*Ludivin* Macire* Madhis* Madog* Madris* Majoric* Mathéis*Mason* Matthew* Matthias* Matti* Maxillien* Maylor* Michelangelo* Mikka* Misha*Moise* Mose* Naveen* Navid* Nayad* Nicolaï* Novica*Pacco* Pacific*Pacome*Paulien* Petia* Pierrick* Princy*L'ange Priska*Ramiro* Redane*Rodéric* Rodrigue* Rodriguez* Roméo* Sabien* Sabria* Safir* Sajana* sanjay* Sarah* Savino* Sebastiano* Seigo* Sevastian* suliac* sulien* Sulio* Tacha* Tahar*L'ange Terisse* Thyago* Tiago* Tician* Tobias* Tobya* Tuncay* Valentin* Valentino* Victoric* VincentD* VincentL* Zvika* Williams

 
 
 
posté le 01-10-2009 à 09:36:22

Hallucination collective ???

Anaconda a Chetaibi
 Chetaibi (Herbillon) est un petit village, connu pour son  beau  paysage et son calme, mais ces derniers jours un phénomène a fait parler beaucoup de lui.  Nombreux sont les gents qui prétendent avoir été   témoins de l’apparition d’un serpent énorme non loin du  cimetière chrétien. Ceux qui ont vu cet  « Anaconda »  disent qu’il mesurait entre 7 à 10 mètres de longueur et présentait   des poils sur son corps. La police, a tenté semble-t’il de le tuer mais elle n’est parvenue qu’à le blesser. Réalité ???Hallucination collective ???
 


Commentaires

 

1. oups007  le 01-10-2009 à 07:40:01  (site)

Cliquez ici pour voir mon imagenotre petit passage avec un petit cadeau douceur pour toi , douce journée et pleins de gros bisouxxxxx d'amitié, tendresse les merveilleux lutins et la fée Plume

2. ssspleen  le 01-10-2009 à 13:05:32  (site)


bonjour , c'est peut être le monstre du Loch Ness qui c'est déplacé??
je plaisante
nous attendons la suite
@++ spleen

 
 
 
posté le 29-09-2009 à 12:55:53

Mon village

Herbillon  Un golfe presque inconnu, parmi les milles golfes  de la pittoresque, de l’étrange terre algérienneDes montagnes, plongeant à pic dans la mer, amorcent la baie ; les rives, longtemps, sont déchiquetées, les roches, superposées, les forets de chêne-liège, dense et désert. Puis une dernière montagne forme toile-de-fond, à l’ouest, tandis qu’en face d’elle, la mer ouvre grand l’horizon, sur le soleil levant.Couché sur les dernières pentes de la montagne proche, qui s’amenuise en coteaux couverts d’oliviers, le village se pelotonne, au nord, dans un incroyable nid de verdure tropicale ! Canas géants, catalpas, bananiers, ficus, acacias, sycomores, poivriers de ceylan, palmiers des malabars ---cela nous rappelles plutôt les petites iles Seychelles, ou la flore des Indes atteste l’origine asiatique de ces ilots semblant détachés --- croirait le profane --- du continent africain.Mais quel caprice de la nature ou des hommes  a rassemblé ici des sujets si divers et de si lointaine origine ? A l’orée du village, paisible, et combien secourable, une exquise petite église semble dire --- à l’encontre de l’inscription du Dante aux portes des enfers : « Gardez toute espérance, vous qui entrez… » Enfin, ce nid de verdure restreint et l’allure accidentelle, est circonscrit, au nord-est, par des rochers de granit, transformés aujourd’hui en carrières à pavés, allant fermer le golfe par un cap aride et magnifique.Commerçants et propriétaires français ; ouvriers et pêcheurs italiens, pour la plupart francisés ; minorité arabe tranquille et courtoise, se partagent la jouissance de cet éden inattendu.La brise au large atténue, aux jours d’été, les rigueurs du sirocco ;le vent de terre souffle sur ses nuits…Quand l’ombre descend sur les forets profondes, le golfe semble un grand lac endormi sur lequel persistent des parfums d’acacias et de fleurs de poivre, tandis que longtemps, sur sa crête chevelue, émerge le marabout de Sidi Bnoud.Surgissant au loin de la mer, la lune épand sur tout cela son large sillon---étincelles mystiques et fleurs de féeries…Troublante, mais placide, sa beauté souveraine promène nonchalamment sa traine majestueuse d’un bord à l’autre des rivages en une longue et capricieuse caresse…Seules, les nuits lunaires de Constantinople, des palais du vieux sérail aux konaks du Bosphore, éveillent en elle au fond des mémoires, la magie de leur souvenir..La nature, à Herbillon, a multiplié ses dons et ses effets ;on les découvre lentement, puis l’on est subjugué par tant de séductions cachées, de charme presque indicible, dont les racines plongent autant dans la vie géologique de la terre, que dans les effluves d’âmes matérialisées de ceux qui la pétrirent.
 


Commentaires

 

1. mysterious  le 29-09-2009 à 11:48:56  (site)

kikou je vous souhaite bienvenue sur vefblog bisous

2. sssspleen  le 29-09-2009 à 13:36:34  (site)


Bonjour,
très beau récit qui donne l'envie de le lire jusqu'au bout
Spleen

3. Jakin  le 29-09-2009 à 16:05:58  (site)

bienvenue dans le monde de Vefblog et bonne continuation....
Jakin, smiley_id210602

4. lulula40  le 29-09-2009 à 16:54:10  (site)

bienvenue sur vefblog lulu

5. aurore  le 29-09-2009 à 22:16:00  (site)

bienvenue, ca doit être joli l'algérie !

6. oups007  le 30-09-2009 à 05:57:11  (site)

Cliquez ici pour voir mon imageC'est avec ces quelques mots doux sur l'amitié, que l'on passe te souhaiter une douce journée, bienvenue sur le vef et te déposer notre amitié sincère, merci de tout coeur pour ta gentillesse, doux bisouxxxxxxxxxxx tes amis les merveilleux lutin et la fée PLume

7. mysterious  le 30-09-2009 à 05:59:48  (site)

kikou je vous souhaite une tres douce journée bisous

 
 
 
 

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