A l'entrée du village,l'Eglise
(Années 40)
Au lieu et place de l'Eglise ,on a construit une mosqué
Tu voulus tout aimer,hélas,tu ne sus pas,
Poète au coeur profond,qu'une ame généreuse,
Ma petite Princesse sicilienne :
ILARIA
Elle se prépare pour aller prendre son bain.
Mon école primaire dans les années 50.
"Surpris par ma Maitresse Mme MOREL,de soufler une réponse à un camarade derrière moi,je recolte une punition.....
Mon village dans les année 50,Baptisé Herbillon par les colons du nom du Général Herbillon,qui servi sous les ordres du Général bugeau lors de la colonisation de l'Algérie.
Rue principale de Chétaibi............
Son tapis de pavés de granit qui faisait sa fierté au meme titre que les rue de Marseille,Paris a disparu et laissé place à un tapis d'asphalte
Le tribunal d’Annaba demande un complément d’information
Un statut pour les professionnels de la pêche
Le Journal officiel vient de publier un nouveau décret exécutif n° 04-18 qui a pour objectif principal l’organisation, le fonctionnement et les missions du Conseil national consultatif de la pêche et de l’aquaculture. Il s’agit, en fait, de transformer le Centre national d’études et de documentation pour la pêche et l’aquaculture en Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l’aquaculture, et cela d’après un rapport approfondit présenté par le ministère de tutelle. Ainsi, le Conseil a pour mission d’examiner les changements ainsi que les aspects liés au développement des ressources humaines et de la protection sociale des professionnels de la pêche et de l’aquaculture. Il sera présidé par le ministre de la Pêche ou son représentant. Il comprendra, les membres suivants : le représentant du ministre de la Défense nationale ; le représentant du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales ; le représentant du ministre des Finances ; le représentant du ministre des Transports ; le représentant du ministre du Commerce ; le représentant du ministre de l’Environnement, le représentant du ministre du Travail et de la Sécurité sociale ; le représentant du ministre des Ressources en eau ; le représentant du ministre de l’Agriculture et du Développement rural ; le président et les deux vice-présidents de la Chambre algérienne de pêche et d’aquaculture plus quatre représentants d’associations nationales représentatives agissant dans le domaine de la pêche et de l’aquaculture qui seront désignés par le ministre de la Pêche ; le représentant du Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l’aquaculture (CNRDPA) et enfin trois scientifiques ayant le rang de chercheurs dans le domaine de la pêche et de l’aquaculture. En outre, le conseil peut à tout moment, faire appel à toute personne susceptible d’apporter un plus aux travaux qui portent bien évidemment sur l’organisation, le fonctionnement et les missions du Conseil national consultatif de la pêche et de l’aquaculture. Nassim I.15-10-2009LemaghrebSource : http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=21302
L’aquaculture et la sécurité alimentaire en débat
Ce séminaire auquel ont participé des chercheurs et des responsables du secteur de la pêche se veut une occasion pour les organisateurs de mettre le cap sur la nécessité de développer l’aquaculture pour assurer la sécurité alimentaire en temps de crise dans le pays. Dans ce cadre, les professionnels ont mis en exergue les potentialités dont dispose le pays et la wilaya de Boumerdès plus particulièrement pour réaliser cet objectif. Les intervenants en marge de cette manifestation, ont exposé les lignes directrices du schéma directeur de développement des activités de la pêche qui vise à promouvoir et à développer l’aquaculture par la réalisation de fermes-pilotes à travers le territoire national. Ce schéma a pour but, selon Mme Hadjerès, « de développer cette activité an tant que composante complémentaire à celle des pêches afin de contribuer à la sécurité alimentaire et à la pondération de la pression de pêche exercée sur les stocks halieutiques ».
L'esclavage jusqu'à la fin de la Guerre de Sécession en 1865, l'émergence et les attaques du Klu Klux Klan, la ségrégation jusque dans les années 1960, les émeutes raciales qui éclatent régulièrement... Les Etats-Unis ont un lourd passif en matière de relations ethniques. Ils pensaient en avoir laissé une grande part derrière eux le 4 novembre 2008 en élisant pour la première fois à la plus haute fonction du pays un afro-américain. Le rêve de Martin Luther King semblait se réaliser. Mais un an à peine après l'élection de Barack Obama, il semblerait au contraire que ce dernier soit de plus en plus souvent la cible d'attaques à caractère raciste.Surnommées "tea parties" en souvenir de la rébellion de 1773 contre la domination anglaise, les manifestations contre la politique d'Obama se sont multipliées ces derniers temps. Au milieu des revendications politiques, on a pu y voir des caricatures du Président en serpent ou encore en sorcier africain avec un os dans le nez. A l'origine de ces rassemblements, on trouve Glenn Beck, un commentateur politique qui a qualifié Obama de "personne avec une haine profondément ancrée des Blancs et de la culture blanche." Ses supporters ont multiplié les accusations infondées, comme celle de vouloir profiter de la réforme de la Sécurité Sociale pour favoriser la communauté noire au détriment de la population blanche.Nées au moment des primaires américaines et colportées depuis sur Internet, des rumeurs sur la nationalité et la religion de Barack Obama sont récemment devenues plus virulentes. Certains, comme sur cette affiche, prétendent que le Président serait né au Kenya et qu'il aurait falsifié son certificat de naissance. D'autres encore, affirment qu'il serait musulman en insistant sur son second prénom, Hussein. Ces accusations ont trouvé écho jusque sur la très sérieuse chaîne CNN. A l'heure où le débat fait rage sur la question de l'immigration, les détracteurs les plus extrêmes répandent ces rumeurs, pourtant maintes fois démenties, pour rejeter Obama dans le camp des étrangers indésirables.Devant l'ampleur de ces attaques, Jimmy Carter (photo) est monté au créneau. Dans un discours, l'ancien Président des Etats-Unis a jugé "qu'une part écrasante de l'intense animosité qui s'est exprimée envers le président Barack Obama tient au fait qu'il est noir". Il a ajouté dans une interview accordée à NBC qu'il s'agissait "d'un sentiment partagé par beaucoup de Blancs, pour qui les Afro-Américains ne sont pas qualifiés pour diriger ce grand pays." La romancière Isabel Allende a, à son tour, évoqué un "racisme caché, subliminal" à l'œuvre "surtout chez des personnes âgées, de droite, élevées dans un monde où s'appliquait la ségrégation", et qui sont "profondément irrités par l'idée de voir une famille comme celle d'Obama à la Maison Blanche".Rush Limbaugh ou les dérapages d’un conservateur influentCet animateur radio ultraconservateur et très influent, est célèbre pour son acharnement contre Obama. Il a diffusé dans son émission une chanson, "Barack, the magic negro", dont les paroles affirment qu'Obama ne doit son succès qu'au sentiment de culpabilité de certains Blancs. Puis il a proposé de revenir à la ségrégation dans les bus scolaires après qu'un élève blanc y a été frappé par des élèves noirs. Récemment, il n'a pas hésité à comparer Obama à Hitler. L'idée a fait florès, puisque Lyndon Larouche, un politicien marginal, a édité des posters d'Obama avec une moustache à la Hitler ou en uniforme nazi. Un moyen douteux de légitimer leurs propres attaques racistesEn 2008, Silvio Berlusconi avait choqué la communauté internationale en s'amusant du "bronzage" d'Obama. Il vient de récidiver, en incluant cette fois Michelle, la femme du Président : "Vous ne le croirez pas, mais ils sont deux à être allés à la plage pour prendre le soleil parce que même sa femme est bronzée !". Cet humour douteux a fait des émules puisqu'un ancien élu républicain, Rusty DePass a déclaré sur Facebook, en réponse à la nouvelle, qu'un gorille venait de s'échapper du zoo de la ville : "Ce doit être un ancêtre de Michelle." Sous le feu des critiques, il a assuré que la plaisanterie faisait référence à une récente déclaration où la First Lady affirmait que l'homme descend du singe. Mais aucune déclaration de ce type n'a pu être attribuée à Michelle Obama...Joe Wilson (photo) s'est rendu célèbre en interrompant une intervention d'Obama au Congrès pour hurler "Vous mentez !", le doigt pointé vers le Président. Dans son éditorial du New York Times, Maureen Dowd explique ce manque de respect inimaginable par le racisme latent de certains vieux élus du Sud qui n'acceptent pas d'être dirigés par un jeune Noir du Nord. "Aucun Démocrate ne s'est permis de crier "menteur" à Bush quand il donnait de faux arguments en faveur de la guerre en Irak. Certaines personnes ne peuvent pas croire qu'un Noir est président et ne l'accepteront jamais." En 2000, Joe Wilson avait voté pour le maintien sur la façade du Sénat de son Etat du drapeau confédéré, symbole de la lutte contre l'abolition de l'esclavage...Avec ses champs de coton et de tabac dans lesquels s'épuisaient les esclaves, le Sud est le berceau de la ségrégation aux Etats-Unis. A l'issue de la Guerre de Sécession, qui aboutit à l'abolition de l'esclavage, le Sud devient majoritairement démocrate, en réaction au Parti Républicain de Lincoln, vainqueur du conflit. Ce sont des gouverneurs démocrates qui tentèrent d'empêcher des étudiants noirs d'entrer dans les écoles du Sud lors de la déségrégation. Depuis, avec la montée des idées progressistes dans le Parti Démocrate, les vieux électeurs du Sud sont déchirés entre la nostalgie du Sud d'antan et la fidélité à leur parti. La vague pro-Obama les a submergés. Mais, à l'heure des premiers bilans, certains commencent à regretter que l'on ait laissé un afro-américain devenir président.Formée dès 1865, cette organisation prône la suprématie de la race blanche sur toutes les autres. Responsable de nombreux lynchages et assassinats jusque dans les années 1960, le "Klan" avait perdu de son "rayonnement" depuis la fin de la ségrégation raciale. Mais le Southern Poverty Law Center, une association vouée à la lutte contre les groupes racistes, a observé une augmentation récente de l'activité de ces groupes et de leur nombre. "Le KKK se renforce en ce moment même.", affirme Anthony Karen qui vient de publier un ouvrage consacré à l'organisation. "Pas seulement à cause de la couleur de peau d'Obama, mais aussi à cause de la crise économique et des dérives du politiquement correct."Le rêve d’une société post-raciale encore lointain"En fait, j'étais déjà noir avant l'élection !" Sur le plateau d'un talk-show célèbre, Barack Obama a préféré répondre par la dérision au présentateur qui lui demandait si les récentes critiques étaient dues à sa couleur de peau. Il n'empêche que cette élection, au lieu de restaurer l'unité américaine et d'inaugurer le rêve d'une société "sans couleur", a au contraire, exposé au grand jour toutes les plaies encore ouvertes des États-Unis, toutes les lignes de partage qui divisent le pays, entre Noirs et Blancs, démocrates et républicains, Nord et Sud. La société post-raciale tant espérée est encore loin.Et maintenant que l'état de grâce est passé, Barack Obama doit affronter la crise économique qui constitue, depuis toujours, un terrain fertile pour le racisme.
Les dix pays les plus pauvres
La Journée Mondiale du refus de la misère est célébrée chaque année le 17 octobre depuis 1987. Elle est officiellement reconnue par les Nations Unies depuis 1992. A Paris, des milliers de personnes se réunissent sur le Parvis des Droits de l'Homme pour témoigner leur volonté d'éliminer la pauvreté partout dans le monde. Ils sont désormais des millions dans le monde à se mobiliser pour faire entendre leur voix. Il reste en effet beaucoup à faire : famine, corruption, guerre civile ou encore maladies infectieuses sont les principaux maux qui affectent de nombreux pays, principalement d'Afrique, et qui freinent leur développement. Tour d'horizon des dix pays les plus touchés et des principaux défis à relever.Après dix années d'une guerre civile sanglante qui a vu s'affronter les Hutus et les Tutsis et a dévasté l'économie du pays, le Burundi reste encore fortement marqué par le conflit et peine à se relever. Près de 70% des habitants vivent en dessous du seuil de pauvreté. Après le processus de réconciliation nationale, la situation politique demeure très fragile, la paix doit être consolidée et la sécurité renforcée. L'économie est encore principalement rurale et les services tels que l'éducation, la santé, l'électricité, sont très peu développés. Le pays doit aussi faire face à des contraintes structurelles telles que la faiblesse de son stock de capitaux, la formation insuffisante de sa main d'œuvre, la forte croissance démographique et le lourd endettement. La pandémie de l'épidémie de VIH/Sida est un autre défi d'envergure auquel est confronté le Burundi.Le Malawi est l'un des pays d'Afrique les plus touchés par l'épidémie du sida, laquelle a fait passer son espérance de vie de 52 ans en 1992 à 42 ans aujourd'hui. Il contamine 300 nouvelles personnes chaque jour et 14% des 13 millions d'habitants sont concernés. Outre la propagation du virus, la pauvreté découle aussi de la mauvaise productivité des terres, du faible niveau d'éducation de la population, de la rapide croissance démographique et des inégalités entre les sexes.Pour faire face à cette situation, le gouvernement malawien s'est engagé dans une politique visant à promouvoir la croissance économique, renforcer ses infrastructures, diversifier son agriculture et améliorer l'enseignement et les services de santé.Pays le plus pauvre de la péninsule arabique, le Yémen connaît une stabilité précaire depuis la réunification de ses provinces Nord et Sud en 1990 et sa situation socio-économique est depuis très fragile : difficultés d'intégration du pays réunifié, inflation galopante conjuguée à une hausse du chômage, fortes inégalités dans la scolarisation des garçons et des filles... Celle-ci s'est à nouveau détériorée depuis quelques semaines en raison de la guerre civile qui oppose les rebelles chiites aux forces gouvernementales principalement dans le Nord et qui a d'ores et déjà provoqué une grave crise humanitaire. Plus de 55 000 personnes fuyant les combats sont venues s'ajouter aux 100 000 déplacés déjà recensés par l'ONU depuis 2004. Réfugiés dans des camps, les conditions de vie de ces civils sont extrêmement précaires.Profondément affectée par la guerre civile qui a ébranlé le pays en 1998-99, la Guinée Bissau connaît depuis lors une instabilité politique chronique, une désorganisation économique et une régression sociale importante. C'est l'un des pays les plus pauvres du monde : 65,7% des habitants vivent avec moins de deux dollars par jour. Les possibilités de développement sont rendues plus difficiles, et ce d'autant plus que le pays est devenu une plaque tournante dans le trafic de cocaïne. Pourtant il bénéficie de sols fertiles, de conditions climatiques favorables et d'un littoral très riche en poissons. Les défis qu'il faudra relever sont les suivants : augmenter le niveau aujourd'hui extrêmement bas des salaires, lutter contre le trafic de drogue et le crime organisé, et relancer l'économie et les infrastructures énergétiques.Si la Tanzanie a connu une croissance économique de l'ordre de 7% en 2008 et si les tendances sont encourageantes, beaucoup reste à faire pour que les populations locales, encore très fortement rurales, perçoivent les retombées de ces bonnes performances. Leurs très faibles revenus les maintiennent dans une situation de grande pauvreté. Le développement et la transformation des zones rurales, l'amélioration des infrastructures de transport, de communication et d'énergie, l'investissement dans les secteurs de l'agro-industrie, du tourisme ou des télécommunications, sont les axes majeurs de la stratégie de réduction de la pauvreté engagée par le Président Jakaya Mrisho Kikwete (photo), avec l'aide internationale.La République Démocratique du Congo possède un vaste territoire qui regorge de richesses naturelles, en particulier des ressources minières (diamant, or, cuivre, cobalt, étain...) et énergétiques (charbon, uranium, pétrole). Pourtant, ses habitants sont parmi les plus pauvres de la planète et vivent dans des conditions économiques et sanitaires déplorables, avec notamment un accès très restreint à l'eau et une propagation exponentielle du VIH/Sida. C'est le paradoxe de ce pays dont l'économie a été gravement handicapée par une guerre civile lancinante et une très forte corruption des dirigeants.La RDC continue à chercher la voie qui l'engagerait dans un réel processus de développement, et il semble que la paix soit la condition préalable à toute reconstruction. Depuis la fin de la guerre civile en 2002 qui a désorganisé son économie pendant plus de dix ans, détruit les infrastructures et les services publics, la Sierra Leone commence à se redresser. La situation humanitaire s'est progressivement améliorée et ses taux de croissance annuels vont jusqu'à 7%. Mais plus de 70% de sa population vit toujours en dessous du seuil de pauvreté et 26% subit une extrême pauvreté. Le pays souffre d'une économie insuffisamment diversifiée, d'infrastructures sous-développées, d'un système d'éducation embryonnaire et d'un manque de débouchés commerciaux. Surtout la mauvaise gestion de ses importantes ressources naturelles, principalement en diamant, or, chrome et titane, l'empêche d'exploiter pleinement son potentiel économique et pourrait devenir une source de conflit.Autre pays ne parvenant pas à exploiter ses ressources naturelles et classé parmi les plus pauvres du monde : le Niger, pourtant doté d'un sous-sol riche en or, fer, charbon, uranium et pétrole. La pauvreté est principalement rurale : l'agriculture nigérienne est peu productive et incapable de satisfaire les besoins de sa population. Avec la réduction des terres cultivables due à la sécheresse et la forte pression démographique, le Niger connaît une crise économique majeure et les pénuries alimentaires sont chroniques. Les trois-quarts des pauvres sont des femmes au foyer. Les préoccupations concernent principalement les domaines de l'éducation, de la santé ou encore de l'emploi, où beaucoup reste à faire.Pleine de trésors naturels, l'île de Madagascar, au large de l'Afrique, a longtemps semblé pleine de promesses et pourtant... Un ensemble de choix politiques désastreux depuis les années 70, un endettement excessif et la libéralisation pressante de l'économie ont plongé ses habitants dans une grande pauvreté. La crise politique de 2001-2002 entre les candidats à la présidence de la République a exacerbé les problèmes de l'île, en particulier l'accès de la population aux produits de première nécessité. Plusieurs indicateurs avaient depuis démontré un redémarrage de l'économie. Or la nouvelle crise politique majeure à la tête de l'Etat depuis le début de l'année entre l'ancien Président :Marc Ravalomanana (photo, gauche) et son successeur Andry Rajoelina (photo, centre) risque de freiner cette reprise et donc l'amélioration des conditions de vie des Malgaches.Seize ans après son indépendance de l'Ethiopie, elle-même obtenue après trente années d'une longue guerre de libération, l'Erythrée est un pays ravagé qui doit faire face à des famines chroniques, notamment dues aux sécheresses, à un manque d'activité et à un taux d'analphabétisme élevé, de 70% environ. L'accès à l'eau potable et aux soins est très restreint et le nombre de personnes déplacées à la suite de la guerre se chiffre à un million. Encore très dépendante de l'aide étrangère, l'Erythrée doit relever de nombreux défis afin de lutter efficacement contre la pauvreté. Le problème de la sécurité alimentaire et la mise en place d'une réelle culture industrielle sont les priorités du gouvernement.Source : MSN.FR
CHÉTAÏBI
La mer, le calme et la volupté
Le soleil, inondant de lumière tous les espaces, caresse de ses rayons chauds le petit village paisible dont les maisons, d’un blanc immaculé, brillent de mille feux.
A QUOI ? A QUI ? EST-IL VENU MEDITER CE VOYAGEUR VENU DE NULLE PART.....
Pourquoi ?
Pourquoi se déchirer aux buissons de la route ?
Muguet.
Muguet de Mai,cloches mignonnes,
Sonnez,sonnez,sonnez gaiement;
El watan,édition du samedi 3 ocotobre 2009.
Rapporté par K.O.
Mais ces hauts-fonds inaccessibles aux vagues;ces voutes imposantes en abri naturel;ces bancs granitiques en matières de quais intérieurs;cette impossibilité d'accés par la terre que tout cela est explicite et magnifiquement éloquent ! Combien la rumeur populaire se solidifie ici,au foyer meme qui lui donna naissance ! Ces grottes de Jughurta ne purent etre que d'incomparables entrepots !